vendredi 16 février 2007

L'evolution des lois du mariage maghreben

Dans les pays maghrébins, le mariage traditionnel disparait, etant donné qu'elle etait universelle, imposée et très souvent, le mariage se faisait entre cousins (endogame), avec un ecart d'age elevé et un principe: le mariage traditionnel etait souvent polygamme, cependent dans ces pays, le mariage s'est dévelleppé grace aux codes et aux lois établies.
Dans la tradition maghrébine, les femmes se mariaient très jeune, elles etaint mineurs, elle avait environ de 12 à 15 ans et leur conjoint avaient 20 à 25 an. N2anmoins, aujourd'hui les femmes se marient en myenne a 26 ans et les hommes à 28 ans, quoique toute la population magrébine font en sorte de convoler étant donner qu'il y a 4% des célibataires de 45-49 ans ( pour quelles raisons l'age a augmenté dans le mariage maghrébin?). Les causes du recul de l'age s'explique tout d'abord par l'arrivée d'un nouveelle génération, c'est à dire que les femmes sont de plus en plus nombreuses a savoir lire et écrire, d'après les statistiques de l'UNERO, on constate que le taux d'alphabétisation des femmes a augmenté puisqu'en Algérie, 24% en 1980 a 49% en 1995, en Tunisie de 32% a 55% a la même période et au maroc de 16% a 31% et donc les femmes travaillent de plus en plus.
Cependant le recul du mariage est du principalement par un déclin culturelle et traditionnel dont cela a entraîner le changement culturel c'est le fait que le maghreb a été influencer par la culture occidentale.
La modernité a déclencher dans le monde maghrébin une nouvelle vision de la famille étant donné qu'elle a établit un code de la famille dans les pays maghrébins fondés entre le droit musulan "traditionnel" et les codes civils contemporains. on remarque que le code de la famille n'a pas été effectué au même moment puisu'en Tunisie, le code de la famille a été établie en 1957 après leur indépendance, alors qu'au Maroc, elle a été établie en 2003 et en Algérie en 2001. Cependant, dans les pays maghrébins, c'est développé de nombreux débats entre les partis politiques entre les partisants musulmans et les réformistes qui défendent les mouvements féministes.
EXPLICATION DU CODE DE LA FAMILLE:

Le code de la famille est imposé sur une société, à la pour thèmes fondamentaux les affaires de mariages, de divorces, la pension, la violance et l'expulsion du domicile conjugale, la filiation et la garde. Gace à ce code de la famill, les femmes intègrent petit à petit la société maghrébine grace à une égalité des droits.

Pour améliorer le mariage musulman, on adopte le code du statut personnel, en Tunisie, dès 1956, en interdissant la polygamie et le fait qu'il faut avoir le concentement de la fiancée au mariage cela implique l'abolition du mariage forcé. une autre principe améliore la place de la femme dans la société telle que la hausse de l'age minimum, légal au mariage (1964).
EXPLICATION DU CODE DU STATUT PERSONNEL$

Dans le code du statu personnel, est inscrit des normes qui sont l'interdiction de la polygamie, le divorce doit ètre prononcé judiciairement et une enquète sur les motifs de la demande de séparation. Le code du statu personnel a été établie en 1958 sur une concéption d'infériorité de la femme face à son époux, c'est pour améliorer la condition de la femme maghrébine. En résumé, le principe du code du statut personnel, se repose dur l'égalité de l'homme et de la femme.
Il y a une autre raison qui pourrait dire que le mariage a évolué dans les pays maghrébins, c'est l'imigration. C'est à dire que les femmes imigrées rapportent leur conception du mariage occidental au Maghreb, et donc les femmes maghrébines essaient de s'imposer dans la société en immitant la culture occidentale.

Conclusion

Dans le monde, il existe différents pratiques du mariages, cela peut s'expliquer car il existe plusieurs ethnies qui ont plusieurs types de régimes pour des raisons économiques, politique et religieux cependant est-elle un moyen efficace pour survivre dans la vie sociale ?
Néanmoins la culture influence la population , a choisir ce type de régime matrimoniaux mais n'est-elle pas imposé involontairement par obligation et par tradition?
Le fait que l'on pratique différente cérémonie dans différents pays s'explique d'une part que la religion est introduite dans le mariage et donc c'est pourquoi il existe différentes formes de mariage dans le monde.
Cependant la religion n'est pas la cause principale, mais le fait que chaque pays a une tradition qui est introduite dans le mariage donc cela pourrait être une des causes.
Cependant la religion dans le mariage peut-être contradictoire devant un mariage mixte?
Le 20ème siècle et le 21ème siècle a évoluer les mariages du monde.
Le fait que les femmes et les hommes font de longues études et que les femmes ont de plus en plus de liberté mais aussi d'égalité grâce a des décrets qui ont fait que le mariage traditionnel ne soit aussi un mariage civil cependant est-ce qu'il pourrait avoir un mariage universel?

jeudi 15 février 2007

le mariage musulman

Le mariage musulman a des conditions a propos de l'alliance d'un couple c'est a dire un homme musulman a le droit d'épouser une juive ou une chrétienne mais un homme musulman n'a pas le droit d'épouser une athée car un homme musulman ne peut pas épouser une femme qui ne croit pas en Dieu.
Mais en revanche, une femme musulmane est obligé d'épouser un musulman, si le fiancé est d'une autre religion il doit se convertir à l'islam pour se marier avec elle .
Dans le mariage musulman, on commence la célébration du mariage religieux par une récitation religieuse, c'est a dire une récitation d'une "Khoutbah", une courte allocution en arabe comprenant des formules de louanges d'Allah, cela montre bien que la religion musulmane est introduite dans le mariage.
Le mariage musulman peut invoquer quelque ressemblance avec le mariage chrétien car la célébration du mariage peut se passer dans une mosquée, c'est a dire un lieu sain comme l'église, et c'est un imam qui célèbre la mariage. Il demande, en présence de deux témoins, au responsable de la future mariée c'est a dire la père de la mariée, s'il donne celle-ci en mariage au jeune homme présent, on peut voir ici que la mariée ne donne pas son avis a propos de cette alliance, mais c'est le père qui en décide, cela montre l'infériorité de la femme musulmane et puis l'imam demande au jeune homme s'il accepte de prendre la fille désignée comme épouse, c'est une étape du mariage musulman qui montre une ressemblance avec le mariage chrétien.
Lorsque cette célébration du "Nikah" prend fin dont les invocations qui sont fait en faveur des nouveaux mariés et l'imam qui remet aux jeunes époux leur certificat de mariage donc on peut certifier que le mariage et l'état sont en accord avec un état musulman alors que l'on peut dire qu'en France ou d'autre états de droit que l'église et l'état sont séparés.
Cependant ce mariage musulman est une cérémonie totalement religieuse c'est a dire depuis longtemps on pratique cette cérémonie traditionnelle mais aujourd'hui, les cérémonie musulmane ne passe pas comme cela au maroc.
Les cérémonie ne passe pas tout a fait comme cela car les musulmans adoptent une autre génération qui ne suit pas totalement la tradition musulman.

Les jeunes musulmans ne célèbre presque plus dans la maison de la mariée, les jeunes musulmans célèbres leur mariage pendant 3jours.
Lorsque les mariées installent sur le trône en face d'eux une table décoré c'est a dire qu'il y a du henné dans une assiette avec des oeufs, des gros blocs de sucres, un bol de lait et des dattes et puis les bagues de fiancialles, mais tout ces ingrédients veulent dire des choses dans le mariage musulman, c'est a dire que l'utilisation du henné est significatif car elle n'est pas seulement décorative, elle est aussi une dimension magique, en effet les mariés utilisent le henné car elle apporte la Baraka c'est a dire de la chance.
L'oeuf et le sucre signifie dans le mariage musulman le bonheur mais aussi la fécondation pour les jeunes mariées de plus l'oeuf et le sucre est une tendance traditionnelle et non religieuse, et puis il y a le bol de lait et des dattes. Ces deux ingrédients sont primordiales dans le déroulement de mariage musulman car c'est une affaire religieuse, lorsque le prophète Mahomet a été marié la première fois, il a fait boire sa femme avec un bol de lait et il a donné une datte et puis les fiancés se passent les bagues et donc on remarque même si la génération change, la tradition reste la même.
Le déroulement du mariage musulman reste précis avec sa tradition.

mercredi 14 février 2007

Le mariage juif

Les nombreux rites qui accompagnent un mariage juif traditionnel expriment ce
que celui-ci signifie profondément et quel en est son but. Ce cérémonial
symbolise la beauté de la relation existant entre mari et femme, ainsi que
les obligations qu'ils doivent avoir l'un pour l'autre et envers le peuple
juif.
Le 'Hatan (le marié) et la Kala (la mariée), en se préparant pour la
cérémonie, ne doivent pas seulement considérer les côtés matériels et
temporels de leur future vie de couple, mais aussi chercher à en garantir les
aspects religieux, spirituels et moraux.
Les explications données dans les lignes suivantes sur les différentes
coutumes suivies lors d'un mariage juif vous permettront de comprendre la
beauté et la joie émanant de la cérémonie.
LE JOUR DES NOCES
Le soleil qui se lève annonce le jour le plus heureux et le plus saint de la
vie du 'Hatan et de la Kalah.
C'est, pour eux, comme un Yom Kippour personnel, car ce jour, toutes leurs
fautes sont oubliées puisqu'ils se fondent dans une nouvelle âme.
Dans certaines communautés, comme à Yom Kippour, les futurs mariés vont
jeûner depuis l'aube jusqu'à la fin de la cérémonie. Chez les Ashkénazim, le
'Hatan portera pendant la célébration du mariage, le kittel, blouse blanche
traditionnelle portée par les hommes à Yom Kippour.
KABALAT PANIM (RECEPTION DES INVITES)
Il est d'usage que le 'Hatan et la Kala ne se rencontrent pas durant la
semaine précédant le mariage. Chacun, séparément, reçoit les invités juste
avant la cérémonie. C'est la Kabalat Panim.
La tradition juive compare le jeune couple à un roi et à une reine. La Kala
est assise sur un "trône" pour accueillir ses invités tandis que le 'Hatan
est entouré par les convives qui chantent et portent un toast en son honneur.
LE VOILE (BADEKEN)
Le stade suivant est le badeken; le 'Hatan, escorté par la famille et les
amis, se rend dans la salle où se trouve la Kala et place le voile sur son
visage.
Le voile représente l'idée de pudeur; par là, on montre que, quelle que soit
l'apparence physique, l'âme et le caractère sont d'une suprême importance.
Cette ancienne coutume est le premier des nombreux actes par lesquels le
fiancé s'engage à vêtir et protéger sa future femme.
Cela évoque le geste de Rébecca voilant son visage avant d'épouser Isaac.
Cette coutume est aussi une réminiscence d'un autre fait biblique : Jacob fut
trompé par Laban qui lui fit épouser Léa à la place de Rachel. Léa étant
voilée, Jacob ne se rendit compte de la supercherie que le lendemain, quand
il put discerner ses traits. C'est une sorte de " reconnaissance " que le
'Hatan effectue en voilant lui-même sa future épouse.
'HOUPA
La cérémonie du mariage est célébrée sous la 'Houpa (le dais), symbole du
foyer que le couple doit construire et partager. Il est ouvert de toute part,
de la même façon que l'était la tente d'Abraham et de Sarah, afin de pouvoir
offrir l'hospitalité aux amis et aux membres de la famille sans aucune
restriction.
La 'Houpa a lieu, traditionnellement, à l'extérieur, sous les étoiles, comme
un signe de la bénédiction que D.ieu a faite au patriarche Abraham, en lui
promettant que sa descendance sera aussi nombreuse que "les étoiles du ciel".
Le 'Hatan et la Kala ne portent aucun bijou sous la 'Houpa car ils se lient
l'un à l'autre en tant que personnes et non pas en fonction de ce que chacun
possède.
Le 'Hatan suivi de la Kala sont habituellement accompagnés jusqu'à la 'Houpa
par leur parents respectifs.
Sous la 'Houpa, la Kala tourne autour du 'Hatan sept fois. Comme le monde fut
créé en sept jours, la Kala construit au figuré les murs de son nouveau
foyer. Le chiffre sept symbolise également l'intégralité et la plénitude
qu'ils ne pourront atteindre séparément. D'après une autre explication, les
sept cercles correspondent aux sept fois où est écrit dans la Torah " et
quand l'homme prend femme".
Puis la Kala se place à la droite de son 'Hatan.
KIDOUCHIN
Deux coupes de vin sont utilisées pendant la cérémonie. Le premier verre est
destiné à la bénédiction prononcée pendant les Kidouchin (fiançailles). Le
couple boit alors dans la coupe.
Le vin, symbole de la joie dans la tradition juive, est associé au Kidouch
qui est la prière de sanctification récitée le chabbat et les jours de fête.
Le mariage, appelé Kidouchin, est la sanctification mutuelle faite par un
homme et une femme.
REMISE DE L'ANNEAU
La bague doit être faite d'or pur, sans défaut ni ornement (pierres
précieuses), dans l'espoir que le couple mènera une vie belle et simple.
Le 'Hatan tient maintenant l'alliance dans sa main et, en présence effective
de deux témoins, déclare à sa fiancée: "Te voici sanctifiée à moi par cet
anneau, selon la loi de Moïse et d'Israël". Il passe alors l'anneau à l'index
droit de la fiancée. C'est pour la loi juive, le moment central de la
cérémonie; le couple est désormais pleinement marié.
KETOUBA
A présent, la Kétouba (l'acte de mariage) est lue dans sa version araméenne
originale. Par le mariage, le 'Hatan s'engage à prendre en charge certaines
responsabilités conjugales détaillées dans la Kétouba.
Il a l'obligation, principalement, de nourrir, protéger et de vêtir son
épouse et d'être à l'écoute de ses besoins affectifs. La protection des
droits de la femme juive est si importante que le mariage devient officiel
seulement après parachèvement du contrat.
Le document est signé par deux témoins et a le statut d'un accord légal liant
les deux parties.
La Kétouba est souvent rédigée de manière artistique sur un parchemin et
encadrée pour être affichée dans la maison. Certains ont au contraire pour
coutume de la garder dans un endroit plus discret, symbole de l'intimité
conjugale.
La Kétouba est propriété de la Kala; une fois mariée, elle doit pouvoir y
avoir accès tout le temps. Parfois, elle est conservée par les parents de la
mariée ; c'est là une question de coutume familiale.

CHEVA BRA'HOT
Les Cheva Bra'hot (sept bénédictions) sont maintenant récitées sur la seconde
coupe de vin. Elles ont pour thème la relation entre le 'Hatan et la Kala et
notre foi en D.ieu qui a créé le monde, qui accorde joie et amour et qui est
le Rédempteur suprême de notre peuple.
Ces bénédictions sont prononcées par le rabbin qui a procédé à la cérémonie
ou par d'autres personnes que la famille souhaite honorer.
Ensuite, le 'Hatan et la Kala boivent à nouveau le vin.
LE BRIS DU VERRE
Le 'Hatan casse avec le pied un verre posé sur le sol. Ce geste rappelle
qu'aucune joie, fut-elle la plus grande, ne peut être parfaite depuis la
destruction du Temple de Jérusalem et de la sorte, le jeune couple
s'identifie avec le destin spirituel et national du peuple juif. Un Juif,
même arrivé au point culminant d'allégresse, songe toujours à l'injonction du
Psalmiste de "placer Jérusalem au-dessus de toutes mes joies".
Certains affirment que c'est la dernière opportunité laissée au marié de
"faire preuve d'autorité".
(En Israël, le verre est brisé avant la lecture de la Kétouba.)
Ceci marque la fin de la cérémonie. Le Hatan et la Kala quittent alors la
'Houpa entourés par les invités enthousiastes qui leur crient "Mazel Tov" et
se dirigent vers la pièce de Yi'houd, un endroit d'intimité qui leur est
provisoirement réservé.
YI'HOUD
(Cette coutume est généralement pratiquée par les Ashkénazim. Les Séfaradim
ne s'isolent généralement qu'après le banquet).
Le couple est escorté jusqu'à une pièce privée et laissé seul pour la
première fois. Ces moments de solitude signifient que le 'Hatan et la Kala
ont acquis le droit de vivre ensemble comme mari et femme.
Le couple cesse alors le jeûne qu'il observe depuis le matin.
SEOUDA (LE REPAS DE NOCE)
Les invités ont une mitsva de réjouir (sim'ha) le Hatan et la Kala le jour de
leur mariage. Il y a beaucoup de musique et de danses. Certains invités, pour
ajouter encore à la joie, font des tours de jonglerie ou d'acrobatie.
Après le repas, le Birkat Hamazon (Actions de Grâces) est récité et les Cheva
Bra'hot sont dites de nouveau.
Pendant les sept jours qui suivent le mariage, les amis et la famille ont la
coutume de donner un repas de fête en l'honneur du Hatan et de la Kala. C'est
la semaine des Cheva Bra'hot, car ces bénédictions sont récitées à l'issue de
chaque repas.

Le mariage juif

Les nombreux rites qui accompagnent un mariage juif traditionnel expriment ce

que celui-ci signifie profondément et quel en est son but. Ce cérémonial

symbolise la beauté de la relation existant entre mari et femme, ainsi que

les obligations qu'ils doivent avoir l'un pour l'autre et envers le peuple

juif.

Le 'Hatan (le marié) et la Kala (la mariée), en se préparant pour la

cérémonie, ne doivent pas seulement considérer les côtés matériels et

temporels de leur future vie de couple, mais aussi chercher à en garantir les

aspects religieux, spirituels et moraux.

Les explications données dans les lignes suivantes sur les différentes

coutumes suivies lors d'un mariage juif vous permettront de comprendre la

beauté et la joie émanant de la cérémonie.

LE JOUR DES NOCES

Le soleil qui se lève annonce le jour le plus heureux et le plus saint de la

vie du 'Hatan et de la Kalah.

C'est, pour eux, comme un Yom Kippour personnel, car ce jour, toutes leurs

fautes sont oubliées puisqu'ils se fondent dans une nouvelle âme.

Dans certaines communautés, comme à Yom Kippour, les futurs mariés vont

jeûner depuis l'aube jusqu'à la fin de la cérémonie. Chez les Ashkénazim, le

'Hatan portera pendant la célébration du mariage, le kittel, blouse blanche

traditionnelle portée par les hommes à Yom Kippour.

KABALAT PANIM (RECEPTION DES INVITES)

Il est d'usage que le 'Hatan et la Kala ne se rencontrent pas durant la

semaine précédant le mariage. Chacun, séparément, reçoit les invités juste

avant la cérémonie. C'est la Kabalat Panim.

La tradition juive compare le jeune couple à un roi et à une reine. La Kala

est assise sur un "trône" pour accueillir ses invités tandis que le 'Hatan

est entouré par les convives qui chantent et portent un toast en son honneur.

LE VOILE (BADEKEN)

Le stade suivant est le badeken; le 'Hatan, escorté par la famille et les

amis, se rend dans la salle où se trouve la Kala et place le voile sur son

visage.

Le voile représente l'idée de pudeur; par là, on montre que, quelle que soit

l'apparence physique, l'âme et le caractère sont d'une suprême importance.

Cette ancienne coutume est le premier des nombreux actes par lesquels le

fiancé s'engage à vêtir et protéger sa future femme.

Cela évoque le geste de Rébecca voilant son visage avant d'épouser Isaac.

Cette coutume est aussi une réminiscence d'un autre fait biblique : Jacob fut

trompé par Laban qui lui fit épouser Léa à la place de Rachel. Léa étant

voilée, Jacob ne se rendit compte de la supercherie que le lendemain, quand

il put discerner ses traits. C'est une sorte de " reconnaissance " que le

'Hatan effectue en voilant lui-même sa future épouse.

'HOUPA

La cérémonie du mariage est célébrée sous la 'Houpa (le dais), symbole du

foyer que le couple doit construire et partager. Il est ouvert de toute part,

de la même façon que l'était la tente d'Abraham et de Sarah, afin de pouvoir

offrir l'hospitalité aux amis et aux membres de la famille sans aucune

restriction.

La 'Houpa a lieu, traditionnellement, à l'extérieur, sous les étoiles, comme

un signe de la bénédiction que D.ieu a faite au patriarche Abraham, en lui

promettant que sa descendance sera aussi nombreuse que "les étoiles du ciel".

Le 'Hatan et la Kala ne portent aucun bijou sous la 'Houpa car ils se lient

l'un à l'autre en tant que personnes et non pas en fonction de ce que chacun

possède.

Le 'Hatan suivi de la Kala sont habituellement accompagnés jusqu'à la 'Houpa

par leur parents respectifs.

Sous la 'Houpa, la Kala tourne autour du 'Hatan sept fois. Comme le monde fut

créé en sept jours, la Kala construit au figuré les murs de son nouveau

foyer. Le chiffre sept symbolise également l'intégralité et la plénitude

qu'ils ne pourront atteindre séparément. D'après une autre explication, les

sept cercles correspondent aux sept fois où est écrit dans la Torah " et

quand l'homme prend femme".

Puis la Kala se place à la droite de son 'Hatan.

KIDOUCHIN

Deux coupes de vin sont utilisées pendant la cérémonie. Le premier verre est

destiné à la bénédiction prononcée pendant les Kidouchin (fiançailles). Le

couple boit alors dans la coupe.

Le vin, symbole de la joie dans la tradition juive, est associé au Kidouch

qui est la prière de sanctification récitée le chabbat et les jours de fête.

Le mariage, appelé Kidouchin, est la sanctification mutuelle faite par un

homme et une femme.

REMISE DE L'ANNEAU

La bague doit être faite d'or pur, sans défaut ni ornement (pierres

précieuses), dans l'espoir que le couple mènera une vie belle et simple.

Le 'Hatan tient maintenant l'alliance dans sa main et, en présence effective

de deux témoins, déclare à sa fiancée: "Te voici sanctifiée à moi par cet

anneau, selon la loi de Moïse et d'Israël". Il passe alors l'anneau à l'index

droit de la fiancée. C'est pour la loi juive, le moment central de la

cérémonie; le couple est désormais pleinement marié.

KETOUBA

A présent, la Kétouba (l'acte de mariage) est lue dans sa version araméenne

originale. Par le mariage, le 'Hatan s'engage à prendre en charge certaines

responsabilités conjugales détaillées dans la Kétouba.

Il a l'obligation, principalement, de nourrir, protéger et de vêtir son

épouse et d'être à l'écoute de ses besoins affectifs. La protection des

droits de la femme juive est si importante que le mariage devient officiel

seulement après parachèvement du contrat.

Le document est signé par deux témoins et a le statut d'un accord légal liant

les deux parties.

La Kétouba est souvent rédigée de manière artistique sur un parchemin et

encadrée pour être affichée dans la maison. Certains ont au contraire pour

coutume de la garder dans un endroit plus discret, symbole de l'intimité

conjugale.

La Kétouba est propriété de la Kala; une fois mariée, elle doit pouvoir y

avoir accès tout le temps. Parfois, elle est conservée par les parents de la

mariée ; c'est là une question de coutume familiale.


CHEVA BRA'HOT

Les Cheva Bra'hot (sept bénédictions) sont maintenant récitées sur la seconde

coupe de vin. Elles ont pour thème la relation entre le 'Hatan et la Kala et

notre foi en D.ieu qui a créé le monde, qui accorde joie et amour et qui est

le Rédempteur suprême de notre peuple.

Ces bénédictions sont prononcées par le rabbin qui a procédé à la cérémonie

ou par d'autres personnes que la famille souhaite honorer.

Ensuite, le 'Hatan et la Kala boivent à nouveau le vin.

LE BRIS DU VERRE

Le 'Hatan casse avec le pied un verre posé sur le sol. Ce geste rappelle

qu'aucune joie, fut-elle la plus grande, ne peut être parfaite depuis la

destruction du Temple de Jérusalem et de la sorte, le jeune couple

s'identifie avec le destin spirituel et national du peuple juif. Un Juif,

même arrivé au point culminant d'allégresse, songe toujours à l'injonction du

Psalmiste de "placer Jérusalem au-dessus de toutes mes joies".

Certains affirment que c'est la dernière opportunité laissée au marié de

"faire preuve d'autorité".

(En Israël, le verre est brisé avant la lecture de la Kétouba.)

Ceci marque la fin de la cérémonie. Le Hatan et la Kala quittent alors la

'Houpa entourés par les invités enthousiastes qui leur crient "Mazel Tov" et

se dirigent vers la pièce de Yi'houd, un endroit d'intimité qui leur est

provisoirement réservé.

YI'HOUD

(Cette coutume est généralement pratiquée par les Ashkénazim. Les Séfaradim

ne s'isolent généralement qu'après le banquet).

Le couple est escorté jusqu'à une pièce privée et laissé seul pour la

première fois. Ces moments de solitude signifient que le 'Hatan et la Kala

ont acquis le droit de vivre ensemble comme mari et femme.

Le couple cesse alors le jeûne qu'il observe depuis le matin.

SEOUDA (LE REPAS DE NOCE)

Les invités ont une mitsva de réjouir (sim'ha) le Hatan et la Kala le jour de

leur mariage. Il y a beaucoup de musique et de danses. Certains invités, pour

ajouter encore à la joie, font des tours de jonglerie ou d'acrobatie.

Après le repas, le Birkat Hamazon (Actions de Grâces) est récité et les Cheva

Bra'hot sont dites de nouveau.

Pendant les sept jours qui suivent le mariage, les amis et la famille ont la

coutume de donner un repas de fête en l'honneur du Hatan et de la Kala. C'est

la semaine des Cheva Bra'hot, car ces bénédictions sont récitées à l'issue de

chaque repas.

jeudi 8 février 2007

La polyandrie

Le concept de la polyandrie, est le fait qu'une femme se marie avec plusieurs hommes.
La polyandrie se trouve particulièrement chez les Bahima de l'Afrique orientale, certaine tribus comme les Todas de l'inde et surtout au tibet (chine du sud-ouest) dont la forme de la polyandrie est fraternelle.
Les tribus utilisent la polyandrie pour des raisons économiques, politiques, culturelles, mais aussi un problème démographique (cause d'accroissement de la population).

On remarque en chine qu'il y y'a plus de garçons que de filles puisque les autorités politiques, voulant maîtriser le nombre d'enfant car la population a fortement augmenté, l'état a choisi d'exercer un véritable "contrôle des naissances" et donc le couple est obligé d'avoir un enfant et cela signifie que chaque couple préfèrent avoir un garçon dans les familles car "les garçons" offrent de nombreux avantages (prise en charge des parents dans leur vieillesse, soutien économique...) en conséquence il y a plus de garçons que de fille.

Mais on remarque que chez les Toda on fait un lien entre la polyandrie , et à l'infanticide des filles. Les raisons de l'infanticide sont le fait que les pays soit pauvre et donc ne fournissent pas les ressources nécessaires pour la survis de la population mais on peut dire que la croissance de la population se fait par les femmes et donc les Toda ont procédé a l'infanticide des filles pour restreindre la croissance démographique.

Au tibet, le jour du mariage au sein d'une famille, la femme épouse un homme et en même temps tous ses frères. Ce concept de polyandrie fraternelle a des raisons économiques car on pourrait dire que les Tibeitin utilisent la polyandrie comme un concept de survie.
Les familles qui utilisent la polyandrie sont souvent des frères qui se marie avec la même femme mais la femme a des rapports sexuelles seulement avec un des frères. Les raisons de cette coutume, serait d'éviter de partager la propriété de la terre entre les familles monogames des frères pour après la mort du père et donc cela pourrait poussé les tibétains à cette polyandrie fraternelles. Parfois ces propriétés étaient si petite qu'elles ne permettaient pas a un groupe conjugal, de vivre et donc cela revient a dire que les familles utilisent la polyandrie fraternelle, et également que cette polyandrie serait bien d'origine économique mais cette polyandrie sont souvent présente surtout dans les classes inférieurs de la société.

La réponse de Mundock sur la question anthropologique sociale:

Selon le tableau de G.P Mundock, on remarque que la polyandrie est rare et qu'elle est présente en eurasie orientale avec 3%, mais est également présente dans le continent africain.
Contrairement a ces pays, l'Amérique du nord et sud ont des résultats approchants de 0%. Mundock observe dans l'organisation sociale que les types d'organisation familiale dépendent des règles de résidence et des règles de descendance on peut dire qu'elle dépendent de l'univers culturelle.
La polygamie est un mariage tardif qui n'est pas basée sur l'amour et qui défavorise l'éducation des enfants et la croissance démographique.

mardi 6 février 2007

La polygamie

La polygamie est pour individu le fait d'avoir plusieurs conjoints: pour une femme ayant plusieurs maris on parle de polyandrie, pour un homme ayant plusieurs femme de polygynie.
La polygamie s'oppose à la monogamie.

Il semblerait que le négal compte la proportion de polygames la plus élevée du continent africain. Au sénégal, la polygamie possède un statut légal et une reconnaissance comme régime matrimonial au même titre que la monogamie.

Contrairement à des idées reçues, y compris en Afrique la polygamie ne résulte pas d'un excédent naturel des femmes au sein de la population et pas d'avantage d'un célibat définitif d'une partie importante des hommes.
L'explication est ailleurs.
Le mariage des femmes est précoce, généralement entre 18 et 20 ans. Celui des hommes est plus tardif; en moyenne entre 25 et 28 ans. Ce décalage est dû au fait que l'homme attend d'avoir des ressources financières suffisantes pour pouvoir proposer une dote. De plus, ce décalage de 5 à 10 ans met en rapport un effectif de jeunes filles à marier qui peut être supérieur de 15 à 30% à celui des hommes cherchant une épouse.

Ensuite, le sénégal est, rappelons le, un pays musulman à 90% dans lequel le célibat des femmes est vécu comme une situation d'attente. Les normes religieuses, en effet, valorisent le statut d'épouse et le célibat définit féminin est quasi-inéxistant après le divorce ou veuvage, les femmes se remarient d'autant plus aisément que les hommes, même déjà mariés peuvent les épouser ce qui ouvre différentes voies à la polygamie. Il existe aussi d'autres facteurs explicatifs tel que religieux c'est a dire l'islam, ou social, (prestige de l'homme très important au Sénégal), pour finir économique car la valeur productive des femmes et des enfants est aussi importante surtout en campagne.

La pratique de la polygamie est mal perçue dans la civilisation occidentale au point que de nombreux États la reconnaissent comme un délit. A l'exception de la turquie et de la tunisie l'ayant interdite en 1957 la polygynie est accepté sans pourtant être encourager par de nombreux pays.

La polygamie en France est en principe interdite par la loi mais l'administration française tolère depuis longtemps la polygamie pour les immigrés, en vertu du respect traditionnel du statut personnel des étrangers.

Plan

Tout d'abord nous parlerons des lois matrimoniaux comme la polygamie et de la polyandrie puis nous expliquerons quels sont les différents rites et les coutumes des cérémonies de différents mariages comme le mariage musulman, le mariage juif et le mariage indien et enfin dans un dernier temps nous terminerons par montrer les évolutions existantes des " lois " du mariage.

lundi 5 février 2007

Le mariage en inde

Ces mariages indiens contiennent et symbolisent un grand nombre de rites et rituels, traditions, grandeurs et festivité.
Ils inclut aussi des centaines de petites coutumes transmit de génération en génération.

La cérémonie du mariage est l'une de plus anciennes traditions de la culture indienne. Cela peut être un mariage "Bengali", "un nikaah musulman" "un shadi sich" "un mariage tamil "ou "un garba gujarti", tous possèdent une chose en commun l'existence de rituels familiale.

L'inde est dominé par la culture hindou. Dans le mariage hindou, les éléments de la cérémonie étaient établi il y a plus de 40 siècles dans les anciennes écritures, connu comme le "Védas".
Le mariage, qui est suivi par tous les invités, n'est pas seulement l'union d'un homme et d'une femme, mais aussi celle de leurs familles.

Le mariage Rajasthani

Il n'y a aucune cérémonie traditionnelle de l'inde qui peut égaler les personnages royaux et la grandeur d'un mariage Rajasthani.

Se mariage se déroule a la maison de la mariée et l'epoux vient dans cette maison accompagner pour un grand barat et défilé.
Monter sur une jument blanche et Marie vient à la maison de la mariée comme un prince.
La famille de la mariée est responsable pour l'hospitalité et ils font un effort pour s'occuper des invités.

Le mariage de Kerala

D'aprés la culture traditionelle d'Hindous, le mariage de Kerala commence aussi avec l'échange et assorti d'horoscope par les parents du garçon et de la fille. Si les horoscopes sont asortis, une date favorable est fixé pour le mariage.

Le mariage se déroule pendant la journée. Le jour du mariage, la marié visite d'abord un temple et puis la bénédiction de ses parents a ses ainés avant de partir pour le lieu de rencontre du mariage. Le pére de la fille donne sa main à l'epoux dans une cérémonie qu'on appelle "Kanyadaanam". Ensuite, la marie renne sept fois le pied de l'épouse en avant avec sa main symbolisant l'entrée de la mariée dans sa famille.

Aprés le mariage, un festin est préparé pour tout le monde et ensuite la mariée part pour la maison de son epoux.
Aprés avoir reçu Ashirvadam et les bénédictions de ses parents et ainés présent, la mariée prend la permission de partir.
La cérémonie de "Grihapravesh" est célébrée pour accueillir la mariée dans sa nouvelle maison.
Les différents types de mariages selon les pays et les ethnie, sont-ils accéptés par tous ?

La définition du Mariage

Le mariage est l'union d'une femme et d'un homme qui nécessite l'obéissance d'une loi physique, sociale, morale et affective et dont le mariage est un droit naturel, mais le mariage est une union à durée indéfinie qui se termine avec le divorce ou après le décès de l'un des conjoints.
Le mariage peut être civil lorsqu'il est accepté par un officier d'état civil et mandaté par l'état religieux lorsqu'il est accepté par le prête de la religion en question.
Dans certains pays, le mariage est dominé par le principe de la liberté matrimoniale, qui est écrit dans les constitutions; dans ces pays, il existe le contrat de mariage, comme en France qui acquière un régime de la communauté réduite aux acquêts, c'est a dire aux biens acquis pendant le mariage.
Depuis la loi du 4 avril 2006, en France, l'homme et la femme ne peuvent contracter le mariage avant l'âge de 18ans, mais l'autorisation de leur parents, qui est nécessaire même dans le cas de mineurs émancipés (émanciper un mineur, le libérer de l'autorité parentale ou titulaire, le mettre en état d'effectuer certains achats juridique).
Alors que dans d'autre pays comme les pays musulmans, c'est dans le Coran (livre saint) que la plupart des États arabes puisent leur droit du mariage. Dans ces religions notamment africaines et musulmane, est pratiqué le mariage d'un homme avec plusieurs femmes, on parle alors de polygamie.

D'autre pays comme la chine, par rapport a leur situation de vivre (économie, politique, nombre de population...)est pratiqué le mariage d'une femme avec plusieurs hommes, on parle alors de polygamie qui est un moyen pour eux de survivre. De plus l'interdiction de l'inceste c'est a dire la relation sexuelle entre un homme et une femme liés par une parenté entraînant la prohibition du mariage et condamnés par la loi.

Aujourd'hui, la mariage est très diversifié c'est a dire très différent dans chaque pays par rapport a sa religion. La célébration du mariage dans certains pays ce fait différemment comme le mariage juif ou musulmans.

Parfois dans certain mariage, la tradition change par rapport à la génération, et il y a d'autre pays comme l'inde qui possède un grand nombre de mariage très différent.